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PabloPicasso a dĂ©clarĂ© : "Les bons artistes copient, mais les grands artistes volent." Le mĂȘme concept peut s'appliquer Ă la crĂ©ation de votre application. Copier d'autres applications est acceptable, mais innover les fondations que votre concurrence a construites tout en faisant la vĂŽtre et en l'amĂ©liorant est quelque chose de
Les bons artistes copient, les grands artistes volentâ â Pablo Picasso ou Steve Jobs ??? Certains attribuent cette citation Ă Steve Jobs dâautres pensent quâil lâa âempruntĂ©e
Les bons artistes copient, les grands artistes volent" - Pablo Picasso utilisateur10832 @user568458 Je pense que ce n'est pas une copie de URW Gothic L ;
les bons artistes copient, les grands artistes volent" S'il parlait de lui, il voulait sans dire "violent" J'ignore tout de cette histoire ï€ï€. Enfin, bon, au jour d'aujourd'hui, ou l'on revoit tout par le prisme du me too, plus rien ne m'Ă©tonne.
lesgrands artistes copient les génies volent. les grands artistes copient les génies volent. By: | 04/Jun/2022 | Tags:
Site De Rencontre Belge Gratuit Non Payant. Un iPhone, un Nexus One et un Nokia N97 â DR De notre correspondant Ă Los AngelesUn Ă©clairage de l'intĂ©rieur passionnant. En pleine guerre des brevets» entre Apple et HTC/Google et Apple vs Nokia, Jon Schwartz se lĂąche. De 2004 Ă fĂ©vrier dernier, il se trouvait Ă la tĂȘte de l'un des poids lourds de la Silicon Valley, Sun Microsystems, cĂ©lĂšbre pour ses stations de travail, Java ou encore Open Office. LibĂ©rĂ© de ses fonctions suite au rachat de Sun par Oracle, il revient sur son blog sur ses relations avec Apple et Microsoft.On se retrouve au tribunal»Google, je compatis âSteve Jobs a aussi menacĂ© de me poursuivre en justice», commence-t-il dans un billet intitulĂ© Les bons artistes copient. Les grands volent». En 2003, Sun travaille Ă un projet de bureau 3D pour Linux. Selon Apple, les effets graphiques empiĂštent sur la propriĂ©tĂ© intellectuelle» de l'entreprise. Le message est clair Si vous le commercialisez, on se retrouve au tribunal.» Schwartz ne se dĂ©monte pas. Steve, je regardais ta derniĂšre prĂ©sentation, et Keynote le Powerpoint d'Apple, ndr ressemble comme deux gouttes d'eau Ă Concurrence», un logiciel de Lighthouse, une entreprise co-fondĂ©e par Schwartz. Tu possĂšdes les brevets?». Silence de Steve dĂ©fensiveAlors que de plus en plus de voix s'Ă©lĂšvent pour rĂ©clamer une refonte du systĂšme amĂ©ricain des brevets logiciels, Schwartz estime que tout n'est pas Ă jeter. Mais pour lui, les brevets doivent avant tout ĂȘtre une arme dĂ©fensive. Pas offensive. Poursuivre un concurrent lui donne plus d'importance, pas moins. Les dĂ©veloppeurs que je connais ne sont pas moins intĂ©ressĂ©s par la plateforme Android de Google. Au contraire, leur intĂ©rĂȘt est accru par l'action d'Apple.»Jon Schwartz, partisan de l'open-source, raconte Ă©galement comment Microsoft a exigĂ© des royalties pour chaque tĂ©lĂ©chargement d'Open Office, un logiciel proposĂ©... gratuitement par Sun. Une nouvelle forme de racket digital», dĂ©nonce l'ancien PDG. Apple a-t-il raison de vouloir protĂ©ger l'intĂ©gration du multitouch dans l'iPhone alors qu'il n'a pas inventĂ© la technologie âmais a Ă©tĂ© l'un des premiers Ă la dĂ©mocratiser dans les mobiles. Dites-le nous dans les commentaires ci-dessous.
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